3 de novembro de 2025

CONGRESSO MONTFORT 2025 - A QUESTÃO DO EVOLUCIONISMO: FÉ E CIÊNCIA


 

CONGRESSO MONTFORT 2025 - A QUESTÃO DO EVOLUCIONISMO: FÉ E CIÊNCIA
 
LOCAL:  Av. Brigadeiro Luís Antônio, 4843 - Jardim Paulista, São Paulo - SP.

DATA: 15 de novembro de 2025 - 8:30 às 18:00 horas

Inscrição Gratuita (link a seguir)


 

2 de novembro de 2025

Der Blinde am Wegrand

Der Blinde am Wegrand

Jesus, begleitet von seinen Jüngern, war nach einem langen Weg im Begriff, in die Stadt Jericho einzutreten.
Am Wegrand, nicht weit von den Häusern entfernt, saß ein blinder Mann und bettelte um Almosen. Diese Straße, eine der meistbegangenen von Pilgern, war gewiss ein gut gewählter Ort für den Blinden, um die Hand nach den Vorübergehenden auszustrecken.
Doch in dieser Stunde sollte das Almosen, das er empfangen würde, nicht nur groß sein – es sollte das größte Geschenk seines Lebens werden.

Als er den Lärm der Menge hörte, fragte er:
— Was bedeutet dieser Aufruhr? Wer geht vorüber?
— Es ist Jesus von Nazareth, sagten sie ihm.

Jesus. Dieser Name war ihm nicht unbekannt; im Gegenteil, er hatte von vielen Wundern gehört, die Er vollbracht hatte.
Er wusste, dass Jesus, immer gütig und barmherzig, mehreren Blinden wie ihm das Augenlicht zurückgegeben hatte.
Vielleicht war auch für ihn die Stunde der Gnade, der Moment der Heilung gekommen?

Voller Hoffnung begann er zu rufen:
— Jesus, Sohn Davids, erbarme dich meiner!
Es war, als wollte er sagen: Herr, du bist der verheißene Messias; du bist der Sohn Gottes, der Mensch geworden ist; du kannst mich heilen und mir das Augenlicht zurückgeben.

Innerlich sah dieser Blinde viel mehr als die armen verblendeten Juden. Er zeigte einen lebendigen Glauben, ein festes Vertrauen und großen Mut.
Obwohl ihn die Vorangehenden ermahnten, zu schweigen — in der Annahme, er wolle nur eine Almosen von Jesus erbitten — hörte er nicht auf zu rufen:
— Jesus, Jesus, erbarme dich meiner, denn ich bin ein armer Blinder!

Unser Herr, als Er näherkam, hörte diese klagende Stimme, blieb mitten auf der Straße stehen und sagte zu denen neben dem Blinden:
— Nehmt ihn bei der Hand; bringt ihn her. Ich möchte ihn aus der Nähe sehen und mit ihm sprechen.

Sie führten den Blinden zu Ihm, und Jesus — obwohl Er genau wusste, was der Unglückliche wollte — fragte ihn, damit er seinen Glauben an die Macht Gottes bezeuge:
— Was willst du, dass ich dir tue? Was bittest du?
— Herr, mach, dass ich sehe, denn es ist so traurig, blind zu sein. Ich sehe nichts von dieser Welt; Herr, mach, dass ich sehe!

Und Jesus, angesichts des lebendigen Glaubens des Blinden, gebrauchte Seine Macht und Güte und sagte einfach:
— Sieh! Dein Glaube hat dich gerettet.

Und im selben Augenblick öffnete der Mann seine Augen und begann, erstaunt und zu Tränen gerührt, zu sehen. Anstatt nach Hause zu eilen, um seiner Familie von der empfangenen Gnade zu erzählen, blieb er an der Seite Jesu und folgte Ihm, Gott dankend und seinen Wohltäter preisend.

Da begann auch das ganze Volk, das das Wunder gesehen hatte, Gott zu loben.

1 de novembro de 2025

L’Aveugle au Bord du Chemin

L’Aveugle au Bord du Chemin

Jésus, accompagné de ses disciples, après une longue marche, était sur le point d’entrer dans la ville de Jéricho.
Au bord du chemin, non loin des habitations, un aveugle était assis, demandant l’aumône. Cette route, l’une des plus fréquentées par les pèlerins, était certainement un lieu bien choisi par l’aveugle pour tendre la main aux passants.
Mais à cette heure, l’aumône qu’il allait recevoir n’était pas seulement grande, elle était la plus grande qu’il eût pu désirer dans sa vie.

Entendant le bruit de la foule qui passait, il demanda :
— Qu’est-ce que ce mouvement ? Qui passe ?
— C’est Jésus de Nazareth, lui répondit-on.

Jésus. Ce nom ne lui était pas inconnu ; au contraire, il avait entendu parler de nombreux miracles accomplis par Lui.
Il savait que Jésus, toujours bon et miséricordieux, avait rendu la vue à plusieurs autres aveugles comme lui.
Peut-être était-ce enfin pour lui l’heure de la grâce, le moment de la guérison ?

Plein d’espérance, il se mit à crier :
— Jésus, Fils de David, aie pitié de moi !
C’était comme s’il disait : Seigneur, Tu es le Messie promis ; Tu es le Fils de Dieu fait homme ; Tu peux me guérir, me rendre la vue.

Intérieurement, cet aveugle voyait bien plus clair que les pauvres Juifs aveuglés. Il manifestait une foi vive, une confiance ferme et un grand courage.
Bien que ceux qui marchaient devant le réprimandassent, lui ordonnant de se taire — pensant qu’il voulait seulement demander l’aumône à Jésus — il ne cessait de répéter :
— Jésus, Jésus, aie pitié de moi, car je suis un pauvre aveugle.

Notre Seigneur, s’étant approché, entendit cette voix plaintive, s’arrêta au milieu du chemin et dit à ceux qui étaient près de l’aveugle :
— Prenez-le par la main ; amenez-le ici. Je veux le voir de près, je veux lui parler.

On amena l’aveugle, et Jésus, bien qu’Il sût parfaitement ce que le malheureux désirait, afin qu’il fît profession de foi dans la puissance de Dieu, lui demanda :
— Que veux-tu que Je fasse pour toi ? Que demandes-tu ?
— Seigneur, fais que je voie, car il est si triste d’être aveugle. Je ne vois rien de ce monde ; Seigneur, fais que je voie !

Et Jésus, voyant la foi vive de l’aveugle, usa de Sa puissance et de Sa bonté, en disant simplement :
— Vois ! Ta foi t’a sauvé.

Et aussitôt l’homme ouvrit les yeux et, émerveillé, ému jusqu’aux larmes, se mit à voir. Au lieu de courir chez lui pour raconter la grâce reçue, il resta auprès de Jésus et Le suivit, rendant grâces à Dieu et bénissant son Bienfaiteur.

Alors tout le peuple qui avait été témoin du miracle se mit aussi à louer Dieu.